Cependant que nous nous élevons nous nous rapprochons de ce mystère que la poussière nous dérobe.Ainsi se résorbe, à chaque pas que nous faisons sur la montagne, le dessein confus des horizons, et lorsque nous sommes parvenus assez haut, nous ne sommes plus environnés en quelque lieu que nous soyons que par un pur anneau qui nous fiance à l’éternité.
Ernst Jünger, Les Falaises de marbre, court roman métaphorique et pur chef d’oeuvre bien d’actualité hélas
Un immense merci aussi à Marilyse Leroux qui poursuit chaque jour sa progression poétique en regard de la mienne, picturale, merci pour ses très beaux poèmes. Nous sommes en veine on dirait, amusons nous sans prétention, c’est si drôle et si doux contre toutes les mesquineries ambiantes ☺️Acrylique, encres et matieres ( sable, papier) 30×40



















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