l’amitié

"Sois mon seul ami d'accord, garde-le secret…Pourquoi ?Y a pas de pourquoi. C'est comme ça, c'est tout Villa Amalia ❤Acrylique et encre, 60x70

L’ultime trahison

Premièment, ne touche pas à tes aiguilles.Deuxièment,maîrise ta colére.Troisièment, ne te laisse jamais, au grand jamais, tomber amoureux. Car alors pour toujours à l'horloge de ton coeur la grande aiguille des heures transpercera ta peau, tes os imploseront, et la mécanique du coeur sera brisée de nouveau.La mécanique du coeur, Dionysos cette toile, apres coup,... Lire la Suite →

Sable et silence

Demeurant dans l'obscurité, je m'approche de l'essentielDu Fu, En dissimulant mes traces Acrylique et encre 40x50Entre l'espace blanc, de neige et de silence, l'encre -arbre et étang- immobile Détail Detail Detail Inspiration poetique

Lune bleue des fleurs

C'est près de l'eau que j'ai le mieux compris que la rêverie est un univers en émanation, un souffle odorant qui sort des choses par l'intermédiaire d'un rêveur. Si je veux étudier la vie des images de l'eau, il me faut donc rendre leur rôle dominant à la rivière et aux sources de mon pays.... Lire la Suite →

Pulsion de vie

… Il n'est pas commode de vivre sur la terre des hommes. Lorsque le mal de vivre s'accroît, l'envie vous prend de vous installer dans un endroit paisible. Dès que vous avez compris qu'il est partout difficile de vivre, alors naît la poésie et advient la peinture. Oreiller d'herbes, Sôseki Encre, 32x42

Encres… du bleu

Parfois -le plus souvent le soir - la lumière rayonne de partout. Alors je cherche à la voir, sans rien fixer. Je peux garder dans mon regard les grandes masses colorées qui émanent du paysage, du ciel, d'un mur, mais sans encore trouver leur harmonie. Tout à coup la lumière apparaît, comme un accord très... Lire la Suite →

Lumière

~ Et j'entends en moi cette voix, qui sourd du fond de l'enfance : Je suis venue ici, déjà - disait-elle alors -, jeconnais ce lieu, j'y ai vécu, c'était avant le temps, c'était avant moi sur la terre. ~ Yves Bonnefoy, Ce qui fut sans lumière, Ed. Poésie / Gallimard Lavis, carnets

les chemins dispersés

" [...] Que laisses-tu derrière toi dans l'étroite géométrie de la chambre d'une saison où tu as dormi deux secondes ? Avec l'infini des "pourquoi", qui n'ont jamais guéri personne, le livre que tu n'as pas lu, l'image d'un pays usé à force d'être imaginé, l'icône d'un visage aimé, laissé dans la beauté natale […]"... Lire la Suite →

La cinquième dimension

La cinquième dimension Selon la pensée chinoise, et surtout celle des taoïstes, ce qui garantit d'abord la communion entre l'homme et l'univers, c'est que l'homme est un être non seulement de chair et de sang mais aussi de souffles et d'esprits et outre, il possède le Vide. A travers les quatre niveaux observés : Pinceau-Encre... Lire la Suite →

Exposition dans le Jardin du Beau

Exposition en Berry de quelques unes de mes encres grand format et kakémono dans le jardin de l'asso relais !!! Merci à Lionel et Annie ! pour ceux, curieux, qui ne sont pas loin, c'est à Chaillac, près de St Benoit du Sault, du 1er mai au 1er octobre Dans le Jardin du Beau série... Lire la Suite →

Quand la brume descend

All-focus Quand la brume descend sur le soir l'ombre s'allonge... Ailleurs il pleut comme dans nos cœurs. Tu avances dans les pudeurs du soir nomade, solitaire innocent, tu offres ton âme au mot qui te délivrera Flamme jetée dans le jour défenestré tu te tais encore ne connais que ce taire ou encore tu parles,... Lire la Suite →

Série de 7 lavis

Chaque fois que je me retrouve au-dessus de ces longues étendues couvertes de buissons et d'air (couvertes de buissons comme autant de peignes pour l'air) et qui s'achèvent très loin en vapeurs bleues, qui s'achèvent en crêtes de vagues, en écume (comme si l'idée de la mer me faisait signe au plus loin de sa... Lire la Suite →

contempler le vide

Perception silencieuse, l'esprit s'illumine spontanément en contemplant le vide,il se dépasse et trouve le repos. Han shan , VIIe siècle Lavis 30x42

Garrigue, vieux rêve d’enfance

Vieille garrigue bossée des vents. Vieille roche susceptible. Naguère, mûriers et lavandes... Jadis, chaussée de géants... Table nue, ce matin, écriture déchiquetée... Une apparence de soupirail, in Le corps clairvoyant, Jacques Dupin, Poésie/Gallimard Lavis 30x42  

même d’encre, ma mer n’est jamais loin…

"Ô multiple et contraire ! ô Mer plénière de l'alliance et de la mésentente ! toi la mesure et toi la démesure, toi la violence et toi la mansuétude ; la pureté dans l'impureté et dans l'obscénité -anarchique et légale, illicite et complice, démence !... et quelle et quelle, et quelle encore, imprévisible ? Mer... Lire la Suite →

le creux du silence

"Vains sont ces textes que je laisse à pleins paniers ; Ils ne font que brouiller mon destin à venir. Voici que s'assombrit le chemin vers les sources. Voici pur et glacé le tumulus transi. La rosée du matin s'est tout évaporée ; Il n'y a plus que dans la nuit le bruit des pins."... Lire la Suite →

Publication de mes Encres (2 recueils)

Suivre le ciel - Encres et sépias, Format 15x21, 24 pages, 24 illustrations + textes : 20 euros     Le monde est plus vaste que tous nos souvenirs : Format 15x21, 44 p, 26 illustrations (dont couverture) et textes (poésie) : 30 euros

Dire le vent, le bleu

« Tout est devenu BLEU. C'est bleu. C'est à crier tellement c'est bleu. C'est du bleu venu des origines de la Terre, c'est un cobalt inconnu. On ne peut pas arrêter ce bleu, ces traînées de poussière bleues des cimetières des enfants. On souffre. On pleure. Tout le monde pleure. Mais le bleu reste là. Acharné.... Lire la Suite →

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