« Je n’aime que les livres dont les pages sont imbibées de bleu – de ce bleu qui a fait l’épreuve de la mort. Si mes phrases sourient c’est parce quelles sortent du noir. J’ai passé ma vie à lutter contre la persuasive mélancolie. Mon sourire me coûte une fortune. Le bleu du ciel c’est comme si une pièce d’or tombait de votre poche et qu’en l’écrivant je vous la rendais. Ce bleu en majesté dirait la fin du désespoir et ferait monter les larmes aux yeux. Vous comprenez ? »C. Bobin
Acrylique et encre, 35×45
Pastels, A4 pour la vague
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