Il y a des êtres mystérieux qui nagent lentement à la brasse au-dessus des montagnes. Ils vont au plus près de l’étoile. …À l’autre bout du monde la mer est d’or.À l’autre bout du monde, à minuit, le fond du ciel est noir comme de l’encre.Il faut le répéter : le fond du ciel est noir comme de l’encre.Quelqu’un, à nouveau, semble marcher sur l’eau. Alors on cligne des yeux. On observe cette silhouette qui trotte ou plutôt qui se dissout dans la mer….Il regarde la mer etinceler sous ses yeux. Il pleure.L’amour, la mer, P. QuignardAcrylique 30×40( ne pas chercher le lien texte image svp,( juste plaisir de partager ce qui fait mon présent, -ici ma lecture et relectures nombreuses de ce texte que jaime tant et 4 toiles différentes en une fois-si ça colle pour vous tant mieux ou pas) 😀



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