Il n’y a, l’instant d’un glissement, que cette lumière indéfinissable, cette ombre du cerisier, du pin, du cyprès, du bambou. Cette ombre sur le rideau : comme elle est claire ! Ici la mesure ne s’évanouit pas dans des pesées mercantiles, elle est autre. Mesure ? Démesure ? Il n’y a plus de nom. Il n’y a que l’éclat. Cet éclat subit, ce message qui n’est lancé par aucune bouche et qui est cet espace, libre. Cet espace où toutes présences s’égalisent, ou il ny a plus d’attaques de cette brève chance, de cet éclat.
La Marche, in Le Bonjour et l’adieu, P.A Jourdan
Acrylique 30×40



Votre commentaire