les chemins dispersés

 » […]

Que laisses-tu derrière toi

dans l’étroite géométrie

de la chambre d’une saison

où tu as dormi deux secondes ?

Avec l’infini des « pourquoi »,

qui n’ont jamais guéri personne,

le livre que tu n’as pas lu,

l’image d’un pays usé

à force d’être imaginé,

l’icône d’un visage aimé,

laissé dans la beauté natale

[…] »

Départ de nulle part, in La Gloire des poussières, Raymond Farina, Editions Alcyone, sept 2020

Mes Carnets de lavis, Port-de-Bouc, septembre 2020, Les chemins dispersés

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