
« Certaines nuits dont la douceur se prolonge, oui, cela aide à mourir de savoir qu’elles reviendont après nous sur la terre et la mer. Grande mer, toujours labourée, toujours vierge, ma religion avec la nuit ! Elle nous lave et nous rassasie dans ses sillons tériles, elle nous libère et nous tient debout. »
((La mer au plus près, A. Camus, Journal de bord)
Votre commentaire