« Vains sont ces textes que je laisse à pleins paniers ;
Ils ne font que brouiller mon destin à venir.
Voici que s’assombrit le chemin vers les sources.
Voici pur et glacé le tumulus transi.
La rosée du matin s’est tout évaporée ;
Il n’y a plus que dans la nuit le bruit des pins. »
Tché K’ai, 568, traduction Démiéville
reprendre les chemins de l’encre et
se reposer au creux du silence
Lavis 24×32, réalisé ce soir
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