Où se prolongent les paysages, « il y a un arbre en chacun de nous ». L’œil n’est plus seul à en connaître le sens. C’est le corps ou c’est l’œil qui commande, pris entre vivacité et sauvagerie, le pousse vers des lieux aux limites floues ou mal définies, dans des courses sans fin d’une violence infinie. Pas de repères dans cette sauvagerie, pas d’ordre, pas de règles, des espaces déconstruits qui ne se laissent pas maîtriser.
(Mon corps est une île, work in progress)
Acrylique A4
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